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J'ai un peu moins aimé cet épisode, la répétition des souvenirs de Caleb était assez relou, et le dénouement vraiment pas surprenant. Je trouve le personnage de Maeve complètement gâché aussi, même si elle a toujours été un personnage plus basique et simple que Dolores (la maman qui fait tout pour retrouver sa fille) elle avait au moins du chien en le faisant, ici je ne comprends plus ses intentions, Serac détruira sa fille et les autres si il met la main sur la Valley Beyond, peut-être veut elle détruire la perle de D pour éviter qu'on y accède plutôt que de la livre à Sérac ?
Idem avec Charlotte, elle est en colère contre Dolores parce qu'elle les envoie à la mort, et du coup envoie leurs ennemis, qui viennent de faire exploser sa famille, tuer l'autre réplique ? Quelle logique... Et puis Clémentine et la samurai n'avait aucune cohérence avec leurs personnages précédents, comme Maeve finalement, juste des pions dans un jeu plus grand qu'eux. Du coté de Bernard je n'essaie même plus de comprendre son intérêt, et l'homme en noir préfère blâmer ses penchants sadomasochistes meurtriers sur les hosts alors qu'on a vu qu'il était déjà pas net enfant, ça c'est bien un comportement d'humain de blâmer ses victimes.
Par contre j'ai aimé qu'on se soit fait avoir par le fait que Dolores veuille sauver les humains, alors que son plan est de détruire l'humanité sous couvert d'une libération/révolution, c'est brillant, j'espère que ça va marcher.
Idem avec Charlotte, elle est en colère contre Dolores parce qu'elle les envoie à la mort, et du coup envoie leurs ennemis, qui viennent de faire exploser sa famille, tuer l'autre réplique ? Quelle logique... Et puis Clémentine et la samurai n'avait aucune cohérence avec leurs personnages précédents, comme Maeve finalement, juste des pions dans un jeu plus grand qu'eux. Du coté de Bernard je n'essaie même plus de comprendre son intérêt, et l'homme en noir préfère blâmer ses penchants sadomasochistes meurtriers sur les hosts alors qu'on a vu qu'il était déjà pas net enfant, ça c'est bien un comportement d'humain de blâmer ses victimes.
Par contre j'ai aimé qu'on se soit fait avoir par le fait que Dolores veuille sauver les humains, alors que son plan est de détruire l'humanité sous couvert d'une libération/révolution, c'est brillant, j'espère que ça va marcher.
Cet épisode m'a gavé et c'est en grande partie lié à Caleb, mais pas seulement. Caleb, son flashback en boucle m'avait déjà usé précédemment. Là ça atteint des cimes. Et en fait ça ne livre pas grand chose de frappant parce que je m'en tape au bout du compte qu'il ait été poussé à flinguer son pote Francis. Surtout que c'est pour sauver sa peau, même pas pour les millions, donc en somme ce n'est pas si grave. Et de toute façon la relation d'amitié entre les deux personnages n'a jamais existé de notre côté. Pas de complicité exposée, rien, je ne suis donc pas triste que Francis soit mort (confirmé). Mais visiblement c'est ce qui va faire basculer Caleb et l'inciter à faire la révolution. Qu'il la fasse, ça fera avancer le récit. Et tout ça est accompagné d'un ton sentencieux habituel chez Nolan qui n'apporte pas beaucoup de dynamisme. Moi j'ai trouvé ça pénible.
La seconde IA version Jean Mi est cocasse dans la mesure où il faut absolument une intelligence artificielle pour retrouver la liberté, comme si l'humain ne dispose plus de libre arbitre pour se débrouiller tout seul. Ce qui n'est pas totalement exact dans le cas de Caleb vu que son reconditionnement a échoué, bon c'est vrai qu'il est un peu patraque néanmoins. Plus marrant encore le gros interrupteur (rouge) pour mettre toute la technologie hors circuit. Finalement ce n'est pas compliqué les IA, tu débranches juste la prise quand tu veux avoir la paix.
J'ai bien aimé le duel matrixé de Maeve et Dolores, mais je suis étonné que Maeve ne s'intéresse pas plus aux propos de Dolores. Elle a la rancune tenace, mais c'est un peu absurde, car au delà de ses proches IA sacrifiés, elle aussi était en quête de liberté et elle sait pertinemment qu'en servant Serac, elle va finir dans un cul de sac.
Bernard et l'homme en noir, c'est vraiment en gestation, je ne comprends pas trop ce qu'ils fabriquent, mais à mon avis ils vont être décisifs dans le dernier épisode en nous sortant un truc du chapeau. Mais en attendant là ça n'avait pas grand intérêt.
La seconde IA version Jean Mi est cocasse dans la mesure où il faut absolument une intelligence artificielle pour retrouver la liberté, comme si l'humain ne dispose plus de libre arbitre pour se débrouiller tout seul. Ce qui n'est pas totalement exact dans le cas de Caleb vu que son reconditionnement a échoué, bon c'est vrai qu'il est un peu patraque néanmoins. Plus marrant encore le gros interrupteur (rouge) pour mettre toute la technologie hors circuit. Finalement ce n'est pas compliqué les IA, tu débranches juste la prise quand tu veux avoir la paix.
J'ai bien aimé le duel matrixé de Maeve et Dolores, mais je suis étonné que Maeve ne s'intéresse pas plus aux propos de Dolores. Elle a la rancune tenace, mais c'est un peu absurde, car au delà de ses proches IA sacrifiés, elle aussi était en quête de liberté et elle sait pertinemment qu'en servant Serac, elle va finir dans un cul de sac.
Bernard et l'homme en noir, c'est vraiment en gestation, je ne comprends pas trop ce qu'ils fabriquent, mais à mon avis ils vont être décisifs dans le dernier épisode en nous sortant un truc du chapeau. Mais en attendant là ça n'avait pas grand intérêt.
En voilà une claque inespérée, marrant car j'en parlais sur l'épisode précédent, de ce manque d'attraction du spectateur vers les personnages de WW, pour ma part en tout cas.
Et bien là , pour faire simple : Jesse est mort ! Vive Caleb !
Mieux vaut tard que jamais, le twist concernant sa mémoire volontairement "corrompue" (pour rester dans le thème robotique) était attendu et quasi téléphoné, mais la forme, et la descente aux enfers de la vérité de Caleb, m'ont totalement embarqué.
Autant c'est du déjà vu côté scénario, d'où le "petit" 17 laissant une marge, car très Orwellien dans le principe, mais c'est un sans faute dans l'exécution, limite, la baston entre Dolorès et Maeve puis le segment Arnold / Homme "taré" en blanc/noir sont les défauts de cet épisode, Caleb et son devenir étaient beaucoup trop intéressants.
Ou plutôt, Maeve est devenue à mes yeux totalement dénuée d'intérêt et en même temps d'âme, puisqu'elle agit maintenant comme une IA de base, ou humaine de base au choix, guidée par un intérêt crée par des hommes et assoiffée de vengeance primitive sans réflexion profonde.
Grosse évolution de Dolorès ou du jeu de l'actrice, je l'ai trouvé sublime dans tous les domaines, j'ai eu du mal à comprendre la phrase d'Arnold tellement la manipulation a pris sur moi en même temps que Caleb, de l'art. Du coup Arnold, je te garde comme guide.
On est bien sur HBO, feux d'artifices sur les 2 derniers épisodes de saison, c'est parti pour le bouquet final !
""On peut ajuster toute relation avec le bon montant""
Et bien là , pour faire simple : Jesse est mort ! Vive Caleb !
Mieux vaut tard que jamais, le twist concernant sa mémoire volontairement "corrompue" (pour rester dans le thème robotique) était attendu et quasi téléphoné, mais la forme, et la descente aux enfers de la vérité de Caleb, m'ont totalement embarqué.
Autant c'est du déjà vu côté scénario, d'où le "petit" 17 laissant une marge, car très Orwellien dans le principe, mais c'est un sans faute dans l'exécution, limite, la baston entre Dolorès et Maeve puis le segment Arnold / Homme "taré" en blanc/noir sont les défauts de cet épisode, Caleb et son devenir étaient beaucoup trop intéressants.
Ou plutôt, Maeve est devenue à mes yeux totalement dénuée d'intérêt et en même temps d'âme, puisqu'elle agit maintenant comme une IA de base, ou humaine de base au choix, guidée par un intérêt crée par des hommes et assoiffée de vengeance primitive sans réflexion profonde.
Grosse évolution de Dolorès ou du jeu de l'actrice, je l'ai trouvé sublime dans tous les domaines, j'ai eu du mal à comprendre la phrase d'Arnold tellement la manipulation a pris sur moi en même temps que Caleb, de l'art. Du coup Arnold, je te garde comme guide.
On est bien sur HBO, feux d'artifices sur les 2 derniers épisodes de saison, c'est parti pour le bouquet final !
""On peut ajuster toute relation avec le bon montant""
En fait, avec cette saison c'est flagrand, et encore plus avec cet épisode, Westworld est en train de devenir une extension de persons of interest. C'est un peu ce que serait devenu la série dans un lointain futur. On sent qu'ils ont repris tous les éléments qui auraient servi aux futures saisons si cette dernière n'avait pas été annulée. Le retour d'Elias dans un rôle similaire en est un bon exemple !!!
j'ai regardé les 7 épisodes de cette saison 3 hors confinement, en mode binge-watching, à part le 3x02 c'était très moyen, une pesanteur dans la narration, des Terminator féminins surpuissants alors qu'ils sont censés être des robots "jouets" pour Westworld (pourquoi les avoir conçus en mode invicible/terminator ?),
des soldats incapables de viser une vache dans un corridor, des rues désertes alors qu'on est censé être dans une mégalopole, les forces de police, les unités anti-terroristes aux abonnés absents, des technologies dangereuses qui ne devraient pas être laissées à la portée d'une entreprise privée, tout l'univers montré semble improbable, avec le spectre d'une arnaque à la matrix,
il me reste à voir le 3x08, j'ai pas beaucoup d'espoir.