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Note moyenne de cet épisode: 13.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 4
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russel 
13.0
13.0
Cette quatrième saison de Preacher finissait par tomber dans l'indigence absolue, il était temps que les showrunners se rappellent qu'ils avaient une série à boucler. Donc le trio infernal en finit un peu avec leurs contrariétés sentimentales et se recentre un peu sur l'apocalypse afin d'empêcher Dieu de supprimer la médiocrité humaine, du moins de la remplacer par autre chose avec des tentacules (ce n'est tout de même pas un créateur très inspiré). Jesse finit en enfer. C'était marrant d'avoir simulé d'abord le paradis même si ça semblait hautement improbable connaissant le parcours du Preacher. On a droit aux retrouvailles avec Fiore, ça c'est plutôt chouette. Je ne pense pas qu'on perdrait au change en ayant Jesse au poste du tout puissant sachant combien l'actuel tenancier est en burnt out. Mais ce serait bien que les deux puissent en discuter un peu à un moment donné.
Tulip et Cassidy sont eux aussi un peu plus actifs et adoptent une autre stratégie pour pourrir les plans de Dieu. Ca nous vaut un retour du merveilleux Humperdoo qui exalte toujours une joie de vivre qui fait plaisir à voir. On est tout de suite mieux quand chacun trouve à s'occuper, c'est forcément plus passionnant à suivre. Starr court après sa bite, Lara rechipe la direction de l'ordre, Jésus et Hitler ne se sont pas encore mis d'accord mais ne manquent pas de propositions. Que le show soit iconoclaste c'est une chose, qu'il nous fasse perdre notre temps ça en est une autre. Donc merci de respecter un minimum de cahier de charge en terme de story telling.
"This is God's chosen one? He's raping blocks of cheese."
Tulip et Cassidy sont eux aussi un peu plus actifs et adoptent une autre stratégie pour pourrir les plans de Dieu. Ca nous vaut un retour du merveilleux Humperdoo qui exalte toujours une joie de vivre qui fait plaisir à voir. On est tout de suite mieux quand chacun trouve à s'occuper, c'est forcément plus passionnant à suivre. Starr court après sa bite, Lara rechipe la direction de l'ordre, Jésus et Hitler ne se sont pas encore mis d'accord mais ne manquent pas de propositions. Que le show soit iconoclaste c'est une chose, qu'il nous fasse perdre notre temps ça en est une autre. Donc merci de respecter un minimum de cahier de charge en terme de story telling.
"This is God's chosen one? He's raping blocks of cheese."
