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Non seulement The Orville se permet à présent d'aborder des thèmes très sérieux quitte à sacrifier le peu d'humour qu'il avait au départ mais en plus c'est maladroit, chiant et plein de clichés. J'ai rarement trouvé un épisode aussi long.
Il n'y a que le personnage de Scott Grimes qui a le bon ton dans cette série.
Sortez Adrianne Palicki de cette catastrophe !
Je vais persévérer jusqu'à l'épisode avec CT et puis je crois que j'arrêterai de perdre mon temps.
Il n'y a que le personnage de Scott Grimes qui a le bon ton dans cette série.
Sortez Adrianne Palicki de cette catastrophe !
Je vais persévérer jusqu'à l'épisode avec CT et puis je crois que j'arrêterai de perdre mon temps.
L'heureux événement de Bortus n'aura duré qu'un temps, son oeuf se révèle être une source à problèmes gender. Une fois de plus on s'engage dans une storyline qui tient plus du drame que de la comédie avec une plaidoirie qui tourne autour des notions d'éthique, de féminisme, d'ingérence, etc... C'est un peu poussif dans les démonstrations mais surtout ça cohabite très mal avec l'humour. Que Bortus ait été convaincu de la nécessité de défier les conventions de sa civilisation et de laisser sa fille à sa vraie nature en regardant une vieille VHS de Rudolph, ça laisse penser qu'il est à moitié demeuré et que donc son engagement n'a aucune valeur. MacFarlane ne parvient toujours pas à trancher entre l'option consistant à délirer franchement ou à se résigner à livrer des épisodes médiocres d'une contre façon de Star Trek.
Il y a toujours cette référence continuelle à la culture populaire américaine que je trouve gênante. Ainsi même Kelly n'est pas foutue de citer un grand auteur et crache des lyrics de Destiny's Child. On n'a visiblement pas produit grand chose de neuf sur terre entre les 90's et le futur de The Orville et le niveau d'étude des officiers est assez inquiétant...
A noter que la série semble séduire les américains, mais qu'elle a perdu la moitié de son audience en quittant la sacro sainte soirée du dimanche...
Il y a toujours cette référence continuelle à la culture populaire américaine que je trouve gênante. Ainsi même Kelly n'est pas foutue de citer un grand auteur et crache des lyrics de Destiny's Child. On n'a visiblement pas produit grand chose de neuf sur terre entre les 90's et le futur de The Orville et le niveau d'étude des officiers est assez inquiétant...
A noter que la série semble séduire les américains, mais qu'elle a perdu la moitié de son audience en quittant la sacro sainte soirée du dimanche...