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Note moyenne de cet épisode: 12.6 / 20 (5)
Classement cette saison : 10
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shingo33 
13.0
13.0
L'histoire fait du sur place. Même si la série se regarde avec plaisir, l'intrigue n'avance pas trop. Tous les protagonistes se dirigent vers la même direction mais que de lenteurs.
J'espère qu'ils ne vont pas nous mettre 24 épisodes car sinon je risque de décrocher dans 4 ou 5 épisodes.
J'espère qu'ils ne vont pas nous mettre 24 épisodes car sinon je risque de décrocher dans 4 ou 5 épisodes.
jorgio
16.0
16.0
Je suis désolé mais je ne sais pas trop ce qu'il vous faut.
Je rejoindrais peut être certaines personnes qui auraient préférées que la série soit chez Netflix. Au moins tout arrive d'un coup.
Chaque épisode apporte son petit lot de révélations.
Cet épisode c'est l'homme en noir et une petite phrase à son propos qui balaie une bonne partie des théories alambiquées et fumeuses (pléonasme) le concernant.
Cela reste mon point de vue mais Westworld est, actuellement, un puzzle et les pièces sont entrain de s'assembler de façon bien efficace.
Cette fois, on complète les flous que l'on avait sur Hector que l'on avait vu dans le 1e épisode: quel était son début de scénario, à la prison, sa fin, devant le coffre du saloon.
Chaque robot est entrain de sortir de sa boucle ou comprendre que quelque chose n'est pas normal. Maeve qui faisait du surplace depuis le début prend enfin de l'ampleur ; sa scène avec Hector est juste sublime. Et oui, Maeve a parfaitement raison. Hector va se faire buter mais on s'en branle !!!
Anthony Hopkins et son mystérieux scénario dévoile un peu son jeu auprès des "financiers". Quand je vois cette scène, je retrouve certaines de similitudes avec Jurassic Park. Toujours cet mauvais mariage entre conception pure et commercial qui n'aboutit qu'à l'apocalypse quand des éléments dangereux font partis de l'environnement.
Seule zone d'ombre actuellement pour moi. L'histoire de William et Alice heu... pardon Dolores. Encore trop floue et qui prend son temps à se mettre en place.
Je rejoindrais peut être certaines personnes qui auraient préférées que la série soit chez Netflix. Au moins tout arrive d'un coup.
Chaque épisode apporte son petit lot de révélations.
Cet épisode c'est l'homme en noir et une petite phrase à son propos qui balaie une bonne partie des théories alambiquées et fumeuses (pléonasme) le concernant.
Cela reste mon point de vue mais Westworld est, actuellement, un puzzle et les pièces sont entrain de s'assembler de façon bien efficace.
Cette fois, on complète les flous que l'on avait sur Hector que l'on avait vu dans le 1e épisode: quel était son début de scénario, à la prison, sa fin, devant le coffre du saloon.
Chaque robot est entrain de sortir de sa boucle ou comprendre que quelque chose n'est pas normal. Maeve qui faisait du surplace depuis le début prend enfin de l'ampleur ; sa scène avec Hector est juste sublime. Et oui, Maeve a parfaitement raison. Hector va se faire buter mais on s'en branle !!!
Anthony Hopkins et son mystérieux scénario dévoile un peu son jeu auprès des "financiers". Quand je vois cette scène, je retrouve certaines de similitudes avec Jurassic Park. Toujours cet mauvais mariage entre conception pure et commercial qui n'aboutit qu'à l'apocalypse quand des éléments dangereux font partis de l'environnement.
Seule zone d'ombre actuellement pour moi. L'histoire de William et Alice heu... pardon Dolores. Encore trop floue et qui prend son temps à se mettre en place.
greg971
11.0
11.0
Les épisodes se suivent et se ressemblent un peu
on perçoit bien qu'à chaque tournée la conscience de certains emerge de plus en plus mais aussi que ça peut aller et venir au grès du hasard.
Ca reste intrigant mais il va falloir que les choses bougent un peu
on perçoit bien qu'à chaque tournée la conscience de certains emerge de plus en plus mais aussi que ça peut aller et venir au grès du hasard.
Ca reste intrigant mais il va falloir que les choses bougent un peu
travis
12.0
12.0
Westworld perd un peu de son charme lors de cet épisode. L'intrigue du labyrinthe se précise un petit peu mais la dimension (paradoxalement) humaine de la série est mise de côté.
Les scénaristes semblent aligner leurs pions avec soin. je suis confiant pour la suite.
Les scénaristes semblent aligner leurs pions avec soin. je suis confiant pour la suite.
russel
11.0
11.0
Un peu désappointé entre les scénarios pas passionnants destinés aux visiteurs et se résumant à dégainer et tirer sur tout ce qui bouge et les scénarios de l'homme en noir et du Dr. Ford probablement plus ambitieux mais rendus inutilement cryptiques (on adore chez les Nolan) afin de faire durer le plaisir (ou l'ennui). Entre tout ça il y a les hosts qui sont de plus en plus en panique tandis que leur conscience s'éveille et ça donne de jolies scènes souvent touchantes que ce soit avec Dolores ou Maeve. Mais les androïdes restent encore trop dans leur boucle pour vraiment entreprendre des trucs intéressants.
On avance un peu sur le dossier Arnold sur lequel se focalisent beaucoup l'homme en noir (définitivement un guest ce qui est rigolo) et le Dr Ford. J'ai bien peur que le centre du labyrinthe soit en fait le libre arbitre des robots et donc la faculté de tuer les humains. Arnold a du tester son programme et y est resté?
Mais sans extrapoler ça demeure sinon très décousu dans la progression et ça me gonfle quand tout est laissé volontairement bien planqué dans l'ombre. Ca m'empêche d'être captivé.
The Cure au piano mécanique cette semaine il m'a semblé, toujours très britannique comme programmation musicale...
On avance un peu sur le dossier Arnold sur lequel se focalisent beaucoup l'homme en noir (définitivement un guest ce qui est rigolo) et le Dr Ford. J'ai bien peur que le centre du labyrinthe soit en fait le libre arbitre des robots et donc la faculté de tuer les humains. Arnold a du tester son programme et y est resté?
Mais sans extrapoler ça demeure sinon très décousu dans la progression et ça me gonfle quand tout est laissé volontairement bien planqué dans l'ombre. Ca m'empêche d'être captivé.
The Cure au piano mécanique cette semaine il m'a semblé, toujours très britannique comme programmation musicale...
Quelle idée de déjeuner avec Hopkins. Depuis Le Silence des agneaux je déclinerais systématiquement ses invitations...
