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Note moyenne de cet épisode: 17.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 3
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Moyenne de la série : 78.3/100.
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russel 
17.0
17.0
Ils auront attendu la clôture pour commencer à s'exciter un peu. Je regrette cette gestion à l'économe des saisons de House of Cards. Tom notamment aurait pu progresser un peu plus vite sur l'enquête, même si c'était bien de le faire galérer face à une affaire forcément retord. Donc là tout le monde balance, à commencer par ceux pour qui c'était prévisible (Jackie et Remy), mais décrocher la confession de l'ancien président Walker, là c'est du sérieux. Il y a du gros grain qui se prépare, ça va être monstrueux sur le final et Doug qui ne peut rien prévoir vu que tout se passe hors radar et qu'en plus il est obsédé par son flirt foireux...
On nous tourne l'épisode à la Homeland – 24. L'histoire de prise d'otage par des djihadistes locaux n'est pas forcément mirobolante. Le terrorisme à papa avec demande de rançon et revendications, ça ne fait pas très califat. Désormais c'est plus massacre éclair par pure politique de la terreur. Mais encore une fois il s'agit avant tout de mettre Franky et Conway sur le même bateau pour resserrer l'affrontement. Et ça aussi ça survient trop tardivement. Rigolo de réunir aussi les familles à la Maison Blanche. J'ai apprécié l'échange entre Claire et Hannah. Vous regrettez de ne pas avoir d'enfants ? Vous regrettez d'en avoir ? On sent tout de suite l'ouverture pour une grande amitié...
L'échéance des négociations autorise un cliff idéal pour une fin de saison, avec Franky qui tente le hold up sur la situation de crise. Ce qui est bien c'est que ce coup-ci il a une épée de Damoclès pendue au dessus de la tête, mais qu'il ne le sait pas.
A noter qu'on nous ramène depuis le début de saison les histoires sur les analyses de données collectées, mais que ça peine vachement à trouver une place satisfaisante dans le récit. Aidan Macallan semble toujours sortir d'on ne sait où. Le fait qu'il bosse dans l'ombre ne justifiant pas tout.
On nous tourne l'épisode à la Homeland – 24. L'histoire de prise d'otage par des djihadistes locaux n'est pas forcément mirobolante. Le terrorisme à papa avec demande de rançon et revendications, ça ne fait pas très califat. Désormais c'est plus massacre éclair par pure politique de la terreur. Mais encore une fois il s'agit avant tout de mettre Franky et Conway sur le même bateau pour resserrer l'affrontement. Et ça aussi ça survient trop tardivement. Rigolo de réunir aussi les familles à la Maison Blanche. J'ai apprécié l'échange entre Claire et Hannah. Vous regrettez de ne pas avoir d'enfants ? Vous regrettez d'en avoir ? On sent tout de suite l'ouverture pour une grande amitié...
L'échéance des négociations autorise un cliff idéal pour une fin de saison, avec Franky qui tente le hold up sur la situation de crise. Ce qui est bien c'est que ce coup-ci il a une épée de Damoclès pendue au dessus de la tête, mais qu'il ne le sait pas.
A noter qu'on nous ramène depuis le début de saison les histoires sur les analyses de données collectées, mais que ça peine vachement à trouver une place satisfaisante dans le récit. Aidan Macallan semble toujours sortir d'on ne sait où. Le fait qu'il bosse dans l'ombre ne justifiant pas tout.
