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Note moyenne de cet épisode: 14.5 / 20 (4)
Classement cette saison : 10
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vanlen 
14.0
14.0
...
C'était pas mal mais loin d'être vraiment intéressant. L'épisode est surtout là pour faire ralentir la série plus qu'elle ne la booste.
C'est maintenant obligé que Mr Robot soit dans la tête d'Eliott tant son implication dans le plan est nulle. Personne ne lui parle que ce soit à leur QG ou dans la chambre d'hôtel. La seule fois où il y a interaction, c'est dans le trip d'Eliott.
Le reste est anecdotique pour le moment, car les conséquence ne sont pas encore calculable.
C'était pas mal mais loin d'être vraiment intéressant. L'épisode est surtout là pour faire ralentir la série plus qu'elle ne la booste.
C'est maintenant obligé que Mr Robot soit dans la tête d'Eliott tant son implication dans le plan est nulle. Personne ne lui parle que ce soit à leur QG ou dans la chambre d'hôtel. La seule fois où il y a interaction, c'est dans le trip d'Eliott.
Le reste est anecdotique pour le moment, car les conséquence ne sont pas encore calculable.
gfreeman
12.0
12.0
ce que je craignais commence à se confirmer : l'accent est trop mis sur les effets visuels, l'équipe technique ( directeur photo, réalisateur ) qui se font plaisir à coup de plans torturés, on dirait presque un court métrage artistique d'Arte sur un concept flou ( faire ressentir en images les délires d'un geek toxicomane ? )
c'est perturbant pour le spectateur qui peut avoir l'impression d'être mené en bateau, ça tourne en rond, on a plus les repères classiques d'une série télé ( suivi d'un fil rouge, progression dramatique, les personnages et leurs buts )
c'est perturbant pour le spectateur qui peut avoir l'impression d'être mené en bateau, ça tourne en rond, on a plus les repères classiques d'une série télé ( suivi d'un fil rouge, progression dramatique, les personnages et leurs buts )
russel
14.0
14.0
Une desintox sous forme de very bad trip assez what the fuck. Hélas si la série entérine un côté dark toujours assez audacieux, la balade hallucinée tire un peu sur la litanie et n'est pas forcément ni captivante dans ses monologues ou même dans ses visions peu enrichissantes pour le cours du récit. Elliot fait juste perdre leur temps à ses co-équipiers en plus du notre.
En parallèle Angela glisse laborieusement son CD pourri dans l'ordinateur de sa boite, Darlene rame pour retrouver son boyfriend qui se révèle donc être le manipulateur du boyfriend à Angela. Tout ceci va certainement prendre sens. Chacun peine à prendre des décisions, tout le monde est un peu paumé.
Enfin bon, Elliot est donc redescendu du plafond. Toujours aussi schizo probablement, mais on va pouvoir peut-être aller de l'avant...
En parallèle Angela glisse laborieusement son CD pourri dans l'ordinateur de sa boite, Darlene rame pour retrouver son boyfriend qui se révèle donc être le manipulateur du boyfriend à Angela. Tout ceci va certainement prendre sens. Chacun peine à prendre des décisions, tout le monde est un peu paumé.
Enfin bon, Elliot est donc redescendu du plafond. Toujours aussi schizo probablement, mais on va pouvoir peut-être aller de l'avant...
travis
18.0
18.0
Mindfuck
Encore un épisode bien différent des autres et pourtant génial à sa façon. Chaque épisode est imprévisible bien que la série s'inspire clairement de films/séries cultes.
La scène du rêve évidemment est un petit bijou qu'il va falloir décortiquer dans tous les sens. C'est le seul moment où Mr. Robot interagit avec d'autres personnes qu'Elliott ce qui confirme un peu plus la thèse qu'il est son "monster". Ca en devient même trop évident pour être vrai.
Cette scène finit cependant de façon très intéressante avec cette révélation avortée d'Angela et un cut to black bien frustrant.
A part cette scène quasi Lynch-ienne, même le début de l'épisode est réussi. La façon dont est placée le titre de la série est systématiquement soigné.
Ca y est, les rôles des hackers de second plan commencent à s'épaissir.
La voix off est toujours un régal, toujours aussi bien écrite. Un mix entre George Lass et le Dexter des premières saisons.
On connait déjà le prochain scandale des Emmy si Rami Malek n'est même pas nommé.
"You're not Elliott. You're the..."
Encore un épisode bien différent des autres et pourtant génial à sa façon. Chaque épisode est imprévisible bien que la série s'inspire clairement de films/séries cultes.
La scène du rêve évidemment est un petit bijou qu'il va falloir décortiquer dans tous les sens. C'est le seul moment où Mr. Robot interagit avec d'autres personnes qu'Elliott ce qui confirme un peu plus la thèse qu'il est son "monster". Ca en devient même trop évident pour être vrai.
Cette scène finit cependant de façon très intéressante avec cette révélation avortée d'Angela et un cut to black bien frustrant.
A part cette scène quasi Lynch-ienne, même le début de l'épisode est réussi. La façon dont est placée le titre de la série est systématiquement soigné.
Ca y est, les rôles des hackers de second plan commencent à s'épaissir.
La voix off est toujours un régal, toujours aussi bien écrite. Un mix entre George Lass et le Dexter des premières saisons.
On connait déjà le prochain scandale des Emmy si Rami Malek n'est même pas nommé.
"You're not Elliott. You're the..."
