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J'ai plus apprécié cet épisode. On renoue avec l'Underwood qu'on aime, celui qui a un plan.
Je ne sais pas s'il veut jouer l'Underdog ou s'il pense juste qu'AmWorks le rendra indispensable mais je me languis de connaitre ce plan en détails.
Toujours pas fan de l'intrigue de Doug.
Je ne sais pas s'il veut jouer l'Underdog ou s'il pense juste qu'AmWorks le rendra indispensable mais je me languis de connaitre ce plan en détails.
Toujours pas fan de l'intrigue de Doug.
Toujours aussi bon.
Je pense que Mendoza peut commencer à se faire dessus car Claire a l'air d'être rancunière et c'est peu de le dire.
Francis prouve encore une fois son génie de stratège politique. Au final il peut appliquer son programme et se laisse tout le temps de contre-attaque pour la présidence.
Marrant de voir à quel point il fait de l'anti-obama.
J'ai l'impression que Doug a remis un doigt de pied dans le circuit. Bizarre son trip avec la seringue.
Bref, cette série respire toujours ce bon vieux climat de manipulation, soif de pouvoir et batailles d'égos.
Je pense que Mendoza peut commencer à se faire dessus car Claire a l'air d'être rancunière et c'est peu de le dire.
Francis prouve encore une fois son génie de stratège politique. Au final il peut appliquer son programme et se laisse tout le temps de contre-attaque pour la présidence.
Marrant de voir à quel point il fait de l'anti-obama.
J'ai l'impression que Doug a remis un doigt de pied dans le circuit. Bizarre son trip avec la seringue.
Bref, cette série respire toujours ce bon vieux climat de manipulation, soif de pouvoir et batailles d'égos.
On délaisse un peu Doug et ses shoots de scotch (savoir vivre de taré) et on se focalise un peu sur les Underwood.
Eux aussi sont toujours un peu spéciaux, genre leur façon de se remonter le moral par des accouplements bestiaux. Les deux sont dans la frustration et aspirent à briser les carcans qui les empêchent d'assouvir leurs aspirations. En même temps House of Cards ça ne démarre jamais sur les chapeaux de roue avec la voie dégagée, il faut toujours agencer un peu les choses pour
que le succès pointe son nez. Le coup de poker de Francis reste gonflé et pas forcément très convaincant. Je suppose qu'il va faire tourner la planche à billets pour trouver les milliards qui financeront ses emplois. Etonnant qu'il n'aille pas taper un peu la finance.
Je serais d'avis que Doug possède les clés pour faire fonctionner Amwork. Francis ferait bien d'avoir plus de considérations pour lui, d'autant plus que ses sidekicks actuels ne sont pas des lumières...