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Note moyenne de cet épisode: 13.8 / 20 (5)
Classement cette saison : 9
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Moyenne de la série : 86.9/100.
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vanlen 
15.0
15.0
...
Toujours très spéciale comme série, mais je ne sais pas, y'a un truc qui m'attire.
C'est extrêmement lent, mais bon dieu que c'est bien fait !
C'est quand même un peut sombre au final, ça va pas nous mettre en joie. Et franchement, c'est culotté d'être à l'épisode 4 et de ne toujours quasiment rien comprendre à tout ça ^^
Toujours très spéciale comme série, mais je ne sais pas, y'a un truc qui m'attire.
C'est extrêmement lent, mais bon dieu que c'est bien fait !
C'est quand même un peut sombre au final, ça va pas nous mettre en joie. Et franchement, c'est culotté d'être à l'épisode 4 et de ne toujours quasiment rien comprendre à tout ça ^^
nickmatt
13.0
13.0
Mon interet pour la série fait le yoyo. un coup je deteste et je m'emmerde ; un coup j'adore et j'en veux encore plus. je crois que je suis aussi perdu que les personnages au final lol
ça avance en tout cas et je prefere ce genre d'épisode au stand alone du pretre que j'ai trouvé inutile.
là j'en veux encore.
ça avance en tout cas et je prefere ce genre d'épisode au stand alone du pretre que j'ai trouvé inutile.
là j'en veux encore.
theloutre
10.0
10.0
Comme le Jésus de la crèche, une fois de plus j'ai fini l'épisode sur le bord de la route.
Quel plaisir peut-on avoir à regarder des gens autant souffrir pendant 1 heure ?
Les "bondieuseries" mises à part devant l'excellence de l'ensemble, on se sent presque idiot de ne pas adhérer, de ne pas comprendre, de ne pas être ému ou touché.
Il y subsiste quelque chose de bancal.
On ne sait ce qui s'est passé. On ne comprend pas les agissements des gens. On est perdu (sans jeu de mot).
Mais je veux des réponses et j'irais jusqu'au bout.
Quel plaisir peut-on avoir à regarder des gens autant souffrir pendant 1 heure ?
Les "bondieuseries" mises à part devant l'excellence de l'ensemble, on se sent presque idiot de ne pas adhérer, de ne pas comprendre, de ne pas être ému ou touché.
Il y subsiste quelque chose de bancal.
On ne sait ce qui s'est passé. On ne comprend pas les agissements des gens. On est perdu (sans jeu de mot).
Mais je veux des réponses et j'irais jusqu'au bout.
travis
14.0
14.0
L'ambiance et le mystère sont toujours là mais un peu d'émotions pendant cet épisode qui s'attaque à un thème difficile et sensible mais qui le traite parfaitement bien.
Je regrette une baisse de rythme et surtout d'émotions, j'avais un peu l'impression d'être un Guilty Remnant en regardant cet épisode.
D'ailleurs, comme Russel, le mot "nihilisme" m'est venu à l'esprit en les voyant voler les photos. Cet espèce de terrorisme émotionnel est assez unique et très intéressant même s'il plombe évidemment l'ambiance voire l'humeur du téléspectateur.
Je regrette également qu'on ait pas vu (de suite en tout cas) la réaction des habitant suite aux vols. Cela aurait plus marqué la violence du geste et apporté cette touche de mélancolie qui m'a manqué dans cet épisode.
Je regrette une baisse de rythme et surtout d'émotions, j'avais un peu l'impression d'être un Guilty Remnant en regardant cet épisode.
D'ailleurs, comme Russel, le mot "nihilisme" m'est venu à l'esprit en les voyant voler les photos. Cet espèce de terrorisme émotionnel est assez unique et très intéressant même s'il plombe évidemment l'ambiance voire l'humeur du téléspectateur.
Je regrette également qu'on ait pas vu (de suite en tout cas) la réaction des habitant suite aux vols. Cela aurait plus marqué la violence du geste et apporté cette touche de mélancolie qui m'a manqué dans cet épisode.
russel
17.0
17.0
Très sombre cette série où règne en maître le désespoir. On progresse très peu, mais on nous développe bien la dureté de cette société dont les maux extraordinaires ne sont en même temps pas si éloignés de nos névroses modernes. Le rejet de Laurie de l'ensemble de sa famille est quand même assez extrême. J'ai été soulagé de voir qu'il y avait encore une faille chez elle (récupération du zippo), sinon c'était vraiment désespérant.
Toujours beaucoup de symbolique, surtout au niveau des white people, avec notamment le vol des photos souvenirs dans les demeures. Ils ont vraiment atteint un degré de nihilisme hallucinant.
Un peu déçu qu'on nous laisse le super pasteur de côté. Il y a pourtant une connexion assez évidente entre lui et Kevin. Les deux étant encore dans la résistance et pas seulement dans la crise ou l'abandon. C'est frustrant, mais je suppose que ça va venir.
En revanche le segment Christine + Tom m'a un peu déstabilisé. D'où sortent ces corps? Là dessus j'espère qu'on aura droit à des explications assez vite sans qu'on nous fasse mariner trois plombes. La nana a visiblement un rôle messianique pas trop bidon (en tout cas moins que la secte de ceux qui ne portent pas de chaussures), mais toujours pareil, il faut développer et ne pas trop s'éparpiller dans des événements sans issue.
Il y a du répondant, les situations s'enchaînent bien et ont une certaine résonance (l'anecdote du poupon de noël) et je reste toujours fasciné par ce monde chamboulé, ces individus vidés de leur substance et en état de choc permanent...
Toujours beaucoup de symbolique, surtout au niveau des white people, avec notamment le vol des photos souvenirs dans les demeures. Ils ont vraiment atteint un degré de nihilisme hallucinant.
Un peu déçu qu'on nous laisse le super pasteur de côté. Il y a pourtant une connexion assez évidente entre lui et Kevin. Les deux étant encore dans la résistance et pas seulement dans la crise ou l'abandon. C'est frustrant, mais je suppose que ça va venir.
En revanche le segment Christine + Tom m'a un peu déstabilisé. D'où sortent ces corps? Là dessus j'espère qu'on aura droit à des explications assez vite sans qu'on nous fasse mariner trois plombes. La nana a visiblement un rôle messianique pas trop bidon (en tout cas moins que la secte de ceux qui ne portent pas de chaussures), mais toujours pareil, il faut développer et ne pas trop s'éparpiller dans des événements sans issue.
Il y a du répondant, les situations s'enchaînent bien et ont une certaine résonance (l'anecdote du poupon de noël) et je reste toujours fasciné par ce monde chamboulé, ces individus vidés de leur substance et en état de choc permanent...
