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Don commence son chemin de croix et on ne peut pas dire qu'il peut se reposer sur ses acquis. Même s'il a fait un beau pétage de plomb je trouve assez surprenant l'attitude de l'ensemble du personnel de l'agence à son égard (y compris Joan avec qui Don a toujours été impeccable). Mais bon, même entre eux, ils ne se font pas de cadeaux.
Je ne suis pas certain que Don ait encore les tripes pour tenir la rampe. La pub c'est sa vie, il excelle dedans, mais a t-il encore le cynisme pour subir la chose? Sa liberté serait de passer à autre chose(écrire?), de trouver sa vraie destinée et d'en finir avec son imposture. Là réduit à faire la compét avec Peggy, il est parti pour finir aussi aigri qu'elle...
Bon en parallèle on a le segment de Roger qui tente de se dépatouiller avec sa fille, ce n'est pas innocent. Margareth croit s'affranchir des contraintes de la société moderne mais se dissout surtout dans le mirage hippie plus qu'elle ne se réalise. D'une génération à une autre, on est dans le même schémas, le refus des conventions. Roger n'a jamais été d'une grande rigueur morale, c'est un escroc tout comme Don qui privilégie l'hédonisme. Mal placé pour donner des leçons. Lui aussi n'est pas supposé faire encore long feu au bureau malgré sa position. Les ordinateurs rognent de l'espace, l'univers de la com se rationalise, tout ceci ne le concernera bientôt plus. Avec les 70's ce sera vraiment la fin d'une époque en plus de celle d'une série...
Je ne suis pas certain que Don ait encore les tripes pour tenir la rampe. La pub c'est sa vie, il excelle dedans, mais a t-il encore le cynisme pour subir la chose? Sa liberté serait de passer à autre chose(écrire?), de trouver sa vraie destinée et d'en finir avec son imposture. Là réduit à faire la compét avec Peggy, il est parti pour finir aussi aigri qu'elle...
Bon en parallèle on a le segment de Roger qui tente de se dépatouiller avec sa fille, ce n'est pas innocent. Margareth croit s'affranchir des contraintes de la société moderne mais se dissout surtout dans le mirage hippie plus qu'elle ne se réalise. D'une génération à une autre, on est dans le même schémas, le refus des conventions. Roger n'a jamais été d'une grande rigueur morale, c'est un escroc tout comme Don qui privilégie l'hédonisme. Mal placé pour donner des leçons. Lui aussi n'est pas supposé faire encore long feu au bureau malgré sa position. Les ordinateurs rognent de l'espace, l'univers de la com se rationalise, tout ceci ne le concernera bientôt plus. Avec les 70's ce sera vraiment la fin d'une époque en plus de celle d'une série...