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Toujours dans la préparation du clash décisif à venir avec des petits bouts de flashback pouvant paraître à priori un peu surlignés (dans la redite) mais qui se révèlent finalement assez utiles pour bien installer ce qui va se dérouler ensuite au niveau des choix difficiles à adopter. J'ai bien aimé la confrontation faussement formelle de Will et Alicia au coffee shop. Ces deux là ont encore de la marge pour s'entendre.
Il est évident que Dubeck va acculer les personnages principaux avec son obsession de se payer Peter Florrick. Là encore on rejoint l'actualité française et c'est criant comme notre société s'américanise judiciairement, avec cette traque via la surveillance, à la limite du harcèlement. Oubliée la présomption d'innocence, tout se fait à charge. On est dans un système huilé et implacable où la procédure est reine. Avec quelques petits bémols. La présence de l'impayable Tascioni. Par sa nature fantasque, elle démontre que rien n'est maîtrisable. Elle est capable de souffler le partenariat avec Rayna Hecht sous le nez du reste de la profession, on se demande même comment tant elle reste déconcertante (le coup de l'ours, mdr), mais aussi de déstabiliser Dubeck à l'impro.
C'est la voie à suivre pour Alicia qui a fait du chemin depuis ses premiers pas de femme libérée, mais est loin d'avoir encore une totale confiance en elle (vertige de la page blanche). Or pour survivre il faut y aller franco sans trop se poser de questions. En gros Alicia va devoir se transformer en Carol de The Walking Dead...
Il est évident que Dubeck va acculer les personnages principaux avec son obsession de se payer Peter Florrick. Là encore on rejoint l'actualité française et c'est criant comme notre société s'américanise judiciairement, avec cette traque via la surveillance, à la limite du harcèlement. Oubliée la présomption d'innocence, tout se fait à charge. On est dans un système huilé et implacable où la procédure est reine. Avec quelques petits bémols. La présence de l'impayable Tascioni. Par sa nature fantasque, elle démontre que rien n'est maîtrisable. Elle est capable de souffler le partenariat avec Rayna Hecht sous le nez du reste de la profession, on se demande même comment tant elle reste déconcertante (le coup de l'ours, mdr), mais aussi de déstabiliser Dubeck à l'impro.
C'est la voie à suivre pour Alicia qui a fait du chemin depuis ses premiers pas de femme libérée, mais est loin d'avoir encore une totale confiance en elle (vertige de la page blanche). Or pour survivre il faut y aller franco sans trop se poser de questions. En gros Alicia va devoir se transformer en Carol de The Walking Dead...
J'en redemande encore et encore !
elle est complètement timbrée! Elle est génialissime dans cette série!