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un peu moins enthousiaste que Russel, mais je le rejoins sur tous les points qu'il a évoqué quand à la qualité de cette série et le côté what the fuck . Les passages avec tommy wheeler étaient assez jouissif, mais ce qui m'a ennuyé , a été le côté attente dans lequel j'ai été plongé.
Là j'étais comme ray , dans l'attente que Sully débarque.
Autant le 8 était vraiment chouette malgré toute cette attente, autant là , ça m'a donné l'impression qu'on devait aussi se farcir la rédemption de ray vis à vis de son fils suite à l'épisode 6. ( je trouve toujours que la faiblesse de cette série reste les gamins de ray)
Après c'est du très bon, c'est très bien joué et de toute manière une série s'apprécie aussi dans son ensemble, juste que je l'ai trouvé un grand en dessous.
Bon je dis ça , je devais peut être encore avoir les yeux et les oreilles pleins de sang vu que je venais de me farcir dexter s08e09.
Là j'étais comme ray , dans l'attente que Sully débarque.
Autant le 8 était vraiment chouette malgré toute cette attente, autant là , ça m'a donné l'impression qu'on devait aussi se farcir la rédemption de ray vis à vis de son fils suite à l'épisode 6. ( je trouve toujours que la faiblesse de cette série reste les gamins de ray)
Après c'est du très bon, c'est très bien joué et de toute manière une série s'apprécie aussi dans son ensemble, juste que je l'ai trouvé un grand en dessous.
Bon je dis ça , je devais peut être encore avoir les yeux et les oreilles pleins de sang vu que je venais de me farcir dexter s08e09.
Encore un épisode qui accumule les performances dans le what the fuck? Entre la remise sur pied de Tommy Wheeler l'acteur le plus dumbissime d'Hollywood, l'acheminement de Sully via le Nouveau Mexique (petit coucou à Walt et Jesse), la séance photo de la famille Barnes avec lot de consolation canidé, il y a quand même un sens de l'abattage assez réjouissant, on ne sait jamais ce qu'ils vont oser nous servir et où ils vont s'arrêter.
Exit Van Miller assez logiquement qui aurait du se méfier du caractère précaire du statut de travailleur indépendant. Même si Mickey se barre avec la preuve flagrante, il reste quand même une scène de crime assez cocasse avec les portraits tirés de toute la fine équipe (perso j'aurais essuyé mon verre). Pas évident d'en prévoir les retombées. Le piège à con tendu par Ray et livré aux huiles du Bureau risque de ne pas donner l'effet désiré dans ce nouveau contexte. Et quand bien même ça passe, Mickey va profiter de la confession de Sean Stevens pour pourrir la vie du fiston et imposer ses quatre volontés. Reste la carte Sully, mais vu sa traversée du désert, je doute qu'il soit encore vraiment dans le coup dans le rôle du Mr. Propre...
En récapitulatif, toujours pareil, c'est admirable, chaque épisode glisse tout seul. Et pourtant c'est du style abrasif...
"New Mexico. Looks like fucking Mars."
Exit Van Miller assez logiquement qui aurait du se méfier du caractère précaire du statut de travailleur indépendant. Même si Mickey se barre avec la preuve flagrante, il reste quand même une scène de crime assez cocasse avec les portraits tirés de toute la fine équipe (perso j'aurais essuyé mon verre). Pas évident d'en prévoir les retombées. Le piège à con tendu par Ray et livré aux huiles du Bureau risque de ne pas donner l'effet désiré dans ce nouveau contexte. Et quand bien même ça passe, Mickey va profiter de la confession de Sean Stevens pour pourrir la vie du fiston et imposer ses quatre volontés. Reste la carte Sully, mais vu sa traversée du désert, je doute qu'il soit encore vraiment dans le coup dans le rôle du Mr. Propre...
En récapitulatif, toujours pareil, c'est admirable, chaque épisode glisse tout seul. Et pourtant c'est du style abrasif...
"New Mexico. Looks like fucking Mars."
Pas trouvé l'attente de l'arrivée de Sully longuette, parce que justement on a assisté au voyage et que ça a permis quand même de définir un peu mieux le personnage.
Autant je trouve très fin les persos dans Ray donovan ;un jon voight moins salaud que ce qu'on pouvait penser...il est même attachant dans cet épisode et j'analyse son coup de feu comme une façon de sauver son fils Ray .
Autant les gamins sont caricaturaux au possible ; le summum a été pour moi quand bridget n'a pas arrêté de crier à sa mère que son père allait tuer le Justin bieber noir et qu'elle voulait qu'elle le laisse tranquille , alors que juste avant elle s'est quand même pris une agression sexuelle. Et qu'ensuite elle fasse tout pour le retrouver pour s'allonger sur son lit pour coucher avec lui, ça m'a bien saoulé.
Je pense qu'il y avait mieux à leur faire faire .
Après pour Sully , ce voyage m'a gonflé, le début était marrant avec ses pauses, mais au final , me montrer un Sully sauvage/ violent ne m'apporte rien à ce moment là de l'histoire surtout que pour moi, un mec en cavale depuis 20 ans n'est pas un enfant de ch?ur à la base. J'aurais préféré voir sa folie un peu plus tard.
Mais bon je chipote hein .
Ça reste pour moi l'une des séries les plus intéressantes de cette année ( pour mes goûts )