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Note moyenne de cet épisode: 18.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 1
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Moyenne de la série : 78.3/100.
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pinkman 
18.0
18.0
Oh grosse fin d'épisode qui donne envie de voir la suite. Claire l'a bien eu, ça semblait étrange qu'elle se laisse faire comme ça. Sa "rupture" avec Zoe l'a un peu chamboulé, du coup il devient agressif et irritant et bim. En effet, les femmes ne réussissent pas à Francis sur ce coup. Du coup, ça promet du lourd au niveau du relationnel dans les prochains épisodes.
J'ai aussi apprécié l'assurance de Russo face au vice-président. Et Doug formé à la bonne école pour se faire respecter.
J'ai aussi apprécié l'assurance de Russo face au vice-président. Et Doug formé à la bonne école pour se faire respecter.
russel
18.0
18.0
Et si le point faible de Francis était les femmes?
Il devrait en tout cas se méfier de la susceptibilité féminine, Claire risque de lui faire payer lourdement son manque de considération, elle qui ne supporte pas d'être déçue par qui que ce soit (y compris par son assistante en cloque?). Ca nous vaut en tout cas un splendide cliff et permet à House of Cards de passer dans la zone des séries susceptibles de créer une addiction.
J'aime bien cette façon de traiter les intrigues thématiquement. Les femmes étaient au centre de l'attention. La relation de Francis avec Zoe tourne aussi à l'épreuve de force. Rachel a besoin du très persuasif Doug Stamper pour régler ses soucis avec son manager, même la très haute perchée Linda doit se résoudre à se faire assister par Francis pour faire face à l'adversité. Ou la difficulté d'imposer son émancipation...
"As we used to say in Gaffney, never slap a man
while he's chewing tobacco."
Il devrait en tout cas se méfier de la susceptibilité féminine, Claire risque de lui faire payer lourdement son manque de considération, elle qui ne supporte pas d'être déçue par qui que ce soit (y compris par son assistante en cloque?). Ca nous vaut en tout cas un splendide cliff et permet à House of Cards de passer dans la zone des séries susceptibles de créer une addiction.
J'aime bien cette façon de traiter les intrigues thématiquement. Les femmes étaient au centre de l'attention. La relation de Francis avec Zoe tourne aussi à l'épreuve de force. Rachel a besoin du très persuasif Doug Stamper pour régler ses soucis avec son manager, même la très haute perchée Linda doit se résoudre à se faire assister par Francis pour faire face à l'adversité. Ou la difficulté d'imposer son émancipation...
"As we used to say in Gaffney, never slap a man
while he's chewing tobacco."
