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Bon ben le sujet de l'asile de fou, du serial killer et des petits hommes verts donnent à cette saison un vaste de choix des armes !
Sans oublier la note sexuelle un peu déviante présente en première saison et qui revient ici. Ingrédient indispensable faut croire...
Enfin bon, ce sont pas mes thèmes préférés mais ça mérite quand le coup d'oeil.
Lange est comme un poisson dans l'eau dans ce rôle. Peters tient aussi un rôle majeur...
J'attends de voir ce qu'on a réservé à Quinto. Paulson et Sevigny no comment pour l'instant...
l' horreur de Bloody Face est bien restituée je trouve !
C'est un 15
Sans oublier la note sexuelle un peu déviante présente en première saison et qui revient ici. Ingrédient indispensable faut croire...
Enfin bon, ce sont pas mes thèmes préférés mais ça mérite quand le coup d'oeil.
Lange est comme un poisson dans l'eau dans ce rôle. Peters tient aussi un rôle majeur...
J'attends de voir ce qu'on a réservé à Quinto. Paulson et Sevigny no comment pour l'instant...
l' horreur de Bloody Face est bien restituée je trouve !
C'est un 15
nouveau scenar mais ambiance toujours aussi pesante avec lien constant entre passé et présent
je ne suis pas fan de ce genre de climat
ceci dit c'est plutot bien réalisé, toujours avec les même plans serrés sur les visage, toujours les même références sadiques et perverses
si tout se résumé à un film pourqoi pas mais une série complète, j'ai du mal
je regarderai le 2nd voir dans quel sens ça ca
je ne suis pas fan de ce genre de climat
ceci dit c'est plutot bien réalisé, toujours avec les même plans serrés sur les visage, toujours les même références sadiques et perverses
si tout se résumé à un film pourqoi pas mais une série complète, j'ai du mal
je regarderai le 2nd voir dans quel sens ça ca
J'allais dire "bon pilote" mais techniquement ce n'en est pas un.
Murphy & co réussissent haut la main le pari d'une saison complètement différence avec un casting quasi-similaire.
De l'intrigue, du mystère, des acteurs qu'on apprécie et un peu d'horreur... tout est au rendez-vous.
Il y a tellement de pistes lancées que je ne vois pas comment elles pourraient toutes être payantes mais pour le moment l'aspect intrigant l'emporte sur le doute.
Murphy & co réussissent haut la main le pari d'une saison complètement différence avec un casting quasi-similaire.
De l'intrigue, du mystère, des acteurs qu'on apprécie et un peu d'horreur... tout est au rendez-vous.
Il y a tellement de pistes lancées que je ne vois pas comment elles pourraient toutes être payantes mais pour le moment l'aspect intrigant l'emporte sur le doute.
Une relance de American Horror Story plutôt ambitieuse dans la mesure où ils remettent vraiment l'ensemble de l'ouvrage sur l'établi. Ils ont raison parce que le précédent canevas était quand même assez foireux et ils avaient atteint rapidement la limite de leur concept.
On reste pour autant dans la même idée de recyclage folklorique. L'hôpital psychiatrique avec sa brochette de déglingos et de savants fous sadiques, c'est aussi classique que la maison hantée. Il y a néanmoins de l'audace, on conserve une bonne dose de perversion notamment (merci Jessica Lange) qui place le show à destination exclusive des adultes, ne trahissant pas le genre en édulcorant le propos pour toucher une audience plus large (666 Park Avenue). Il y a la tentative de surprendre en mélangeant les thèmes avec cette évocation de la rencontre du 3ème type qui vient se mêler au reste. Pour l'instant en tout cas ça reste à peu près fluide, on n'a pas l'aspect incohérent et bordélique de la saison 1. A priori l'essentiel se situera dans les années 60, le prologue contemporain étant assez convenu et dispensable.
Il y a des facilités de narration. Ryan Murphy a déjà montré sur cette série qu'il n'hésitait pas à assembler les pièces de son puzzle à coup de maillets s'il le fallait. Donc la façon dont la journaliste se fait piéger c'est quand même assez indigeste. Mais le récit parvient à être plutôt intéressant, on se demande surtout ce que fabrique le docteur Arden. On a déjà fait un bon tour des nouveaux protagonistes, le décors de l'asile est vraiment chouette dans le style gothique, le nouveau générique est plus abouti artistiquement. Tout ça entre autres indices qui peuvent faire espérer que cette seconde livraison nous épargnera la facilité du n'importe quoi et s'en tiendra à plus de rigueur et moins de fumisterie...
"Dominique... nique nique... "
On reste pour autant dans la même idée de recyclage folklorique. L'hôpital psychiatrique avec sa brochette de déglingos et de savants fous sadiques, c'est aussi classique que la maison hantée. Il y a néanmoins de l'audace, on conserve une bonne dose de perversion notamment (merci Jessica Lange) qui place le show à destination exclusive des adultes, ne trahissant pas le genre en édulcorant le propos pour toucher une audience plus large (666 Park Avenue). Il y a la tentative de surprendre en mélangeant les thèmes avec cette évocation de la rencontre du 3ème type qui vient se mêler au reste. Pour l'instant en tout cas ça reste à peu près fluide, on n'a pas l'aspect incohérent et bordélique de la saison 1. A priori l'essentiel se situera dans les années 60, le prologue contemporain étant assez convenu et dispensable.
Il y a des facilités de narration. Ryan Murphy a déjà montré sur cette série qu'il n'hésitait pas à assembler les pièces de son puzzle à coup de maillets s'il le fallait. Donc la façon dont la journaliste se fait piéger c'est quand même assez indigeste. Mais le récit parvient à être plutôt intéressant, on se demande surtout ce que fabrique le docteur Arden. On a déjà fait un bon tour des nouveaux protagonistes, le décors de l'asile est vraiment chouette dans le style gothique, le nouveau générique est plus abouti artistiquement. Tout ça entre autres indices qui peuvent faire espérer que cette seconde livraison nous épargnera la facilité du n'importe quoi et s'en tiendra à plus de rigueur et moins de fumisterie...
"Dominique... nique nique... "