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J'ai trouvé cet épisode meilleur que le pilot.
C'était plus drôle et la petite bande commence à me plaire.
Par contre j'aime toujours pas le thème de la série, c'est vraiment pas passionnant ces escroqueries...
C'était plus drôle et la petite bande commence à me plaire.
Par contre j'aime toujours pas le thème de la série, c'est vraiment pas passionnant ces escroqueries...
Episode très moyen... Que dire de plus ? Cette série avait pourtant tout pour réussir : Don Cheadle et Kristen Bell, un sujet potentiellement subversif. Malheureusement pour l'instant c'est le néant.
Nan, toujours pas...
Ma première impression sur le pilote tend à se confirmer sur le second épisode vu que la recette est exactement la même. C'est même limite redondant. Donc on confirme dans le récit même :
Marty Kaan est un sociopathe, on l'avait bien compris d'entrée de jeu. Ses deux sidekicks sont des douchebags, c'était aussi assez évident en premier lieu, mais là ils en rajoutent une louche. Jeannie la quatrième roue du chariot, plus discrète, rêve d'émancipation mais se délecte de son propre asservissement au près de son maître à penser.
Saupoudrez le tout de l'incontournable scène de tringlage dans les toilettes + une nouvelle escroquerie de richissimes clients (à moins de considérer qu'être un bon fouille merde soit un vrai boulot) et vous obtenez en gros la même chose que la semaine passée. Soit une bande de dégénérés surpayés à profiter du système avec mépris et c'est supposé être tellement scandaleux que ça doit nous faire marrer.
J'en déduis donc que c'est la finalité de la série, que c'est ce qui permet en plus à la chaîne de proclamer House of lies comme la série la plus drôle de l'année. Sauf que moi je n'ai toujours pas rigolé une seule fois...
Ma première impression sur le pilote tend à se confirmer sur le second épisode vu que la recette est exactement la même. C'est même limite redondant. Donc on confirme dans le récit même :
Marty Kaan est un sociopathe, on l'avait bien compris d'entrée de jeu. Ses deux sidekicks sont des douchebags, c'était aussi assez évident en premier lieu, mais là ils en rajoutent une louche. Jeannie la quatrième roue du chariot, plus discrète, rêve d'émancipation mais se délecte de son propre asservissement au près de son maître à penser.
Saupoudrez le tout de l'incontournable scène de tringlage dans les toilettes + une nouvelle escroquerie de richissimes clients (à moins de considérer qu'être un bon fouille merde soit un vrai boulot) et vous obtenez en gros la même chose que la semaine passée. Soit une bande de dégénérés surpayés à profiter du système avec mépris et c'est supposé être tellement scandaleux que ça doit nous faire marrer.
J'en déduis donc que c'est la finalité de la série, que c'est ce qui permet en plus à la chaîne de proclamer House of lies comme la série la plus drôle de l'année. Sauf que moi je n'ai toujours pas rigolé une seule fois...
Les personnages ne sont pas attachants et les situations sont répétitives.
Et comme souvent sur le câble, parce que les auteurs peuvent faire dire des "fuck" à tous les 10 mots et montrer des seins aux 10 minutes, ils croient que c'est suffisant pour faire rire mais ca ne fonctionne pas avec moi (je n'ai même pas souris une seule fois).