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Tout d'abord, du côté des comédies :
DOWN DOG
Cette comédie suit un professeur de yoga dont la vie est bouleversée au lendemain de sa rupture avec une belle femme brillante et plus âgée que lui (Paget Brewster, Criminal Minds, Community). Le rôle principal est tenu par le créateur de la série, Josh Casaubon (I Just Want My Pants Back) et il sera accompagné de Lyndsy Fonseca (Nikita, Marvel's Agent Carter), Will Greenberg (Halt and Catch Fire), Andrea Savage (The Life and Times of Tim), Amir Talai (American Dad), Kris Kristofferson (Lone Star) et Alysia Reiner (Orange Is the New Black).
MAD DOGS
Est une comédie dramatique adaptée d'un format anglais éponyme diffusé sur Sky1 de 2011 à 2013 ; elle suit la réunion d'une bande de quarantenaires qui n'ont pas atteint les objectifs qu'ils s'étaient fixés et qui sont à des carrefours différents de leur vie. Au cast, on retrouve Steve Zahn (Treme), Billy Zane (Samantha Who ?), Romany Malco (Weeds, No Ordinary Family), Michael Imperioli (The Sopranos, Detroit 1-8-7, Californication) et Ben Chaplin (déjà présent dans la version UK). A la production, on retrouve Shawn Rayn et Marney Hochman (The Shield, Last Resort).
SALEM ROGERS
Cette comédie de 30min suit le retour à la dure vie réelle après 10 ans passés entre centres de désintoxication d'une ancienne top-model, avec une énorme confiance en ses compétences, habituée à faire la fête et que tout lui soit dû. Dans ce rôle, on retrouve Leslie Bibb (Popular, GCB, About A Boy) et elle sera accompagnée de Rachel Dratch (Saturday Night Live), Jane Kaczmarek (Malcolm in the Middle), Brad Morris (Playing House), Harry Hamlin (Mad Men, Veronica Mars), Toks Olagundoye (The Neighbors) et Scott Adsit (30 Rock).
Du côté des dramas :
COCKED
Ce drama suit le parcours d'un homme qui s'était promis de ne jamais retourner dans son Colorado natal après avoir abandonné sa famille il y a 20 ans. Des circonstances indépendantes de sa volonté le font revenir afin de s'occuper du business de vente d'armes de la famille. Dans le rôle principal, on retrouve Sam Trammell (True Blood), mais aussi Jason Lee (My Name Is Earl), Brian Dennehy (Death of a Salesman), Laura Fraser (Breaking Bad)et Dreama Walker (The Good Wife). Série créée par Samuel Baum (Lie to Me) et Sam Shaw (Manhattan).
THE MAN IN THE HIGH CASTLE
Est une adaptation du célèbre roman éponyme à succès de Philip K. Dick par Frank Spotnitz (The X-Files). Ou la mise en perspective du monde 20 ans après si les Forces Alliées n'avaient pas gagné la Seconde Guerre Mondiale. Au cast, on retrouve Alexa Davalos (Mob City), Luke Kleintank (Pretty Little Liars), Rupert Evans (The Village), Cary-Hiroyuki Tagawa (Mortal Kombat Legacy), Joel De La Fuente (Hemlock Grove), Rufus Sewell (Eleventh Hour) et DJ Qualls (Z Nation).
POINT OF HONOR
Est un drama historique écrit par Carlton Cuse (Lost, Bates Motel) et Randall Wallace (Braveheart) situé dans l'Amérique de la Guerre de Sécession (1861-1865) et suivant une famille de l'Etat de Virginie, menée par un fils formé à la prestigieuse Académie Militaire de West Point qui prend le très controversé parti de soutenir le Sud tout en libérant les esclaves. Le rôle principal est tenu par Nathan Parsons (True Blood, The Originals) et il sera accompagné de Christopher O’Shea (Baby Daddy), Annabelle Stephenson (Revenge), Riley Voelkel (The Newsroom), Hanna Mangan Lawrence (Spartacus), Patrick Heusinger (Revolution), Luke Benward (Ravenswood), Adrienne Warren (Black Box), Lucien Laviscount (Waterloo Road) et James Harvey Ward (Low Winter Sun).
1 docu-série : THE NEW YORKER PRESENTS
Le plus primé des magazines américains se décline en 1 docu-série de 30 min qui nous promet un un court-métrage avec Alan Cumming (The Good Wife) et Brett Gelman (Go On); un poème de Matthew Dickman récité par Andrew Garfield (The Amazing Spider-Man); un documentaire sur le biologiste Tyrone Hayes, réalisé par Jonathan Demme (The Silence of the Lambs); ou encore une interview de l'artiste de la performance Marina Abramovi?.
Votre avis sur cette nouvelle vague de pilotes ?
Et pas n'importe laquelle, non. Une série du créateur de X-Fies.
Après ça, et après ma crise de débile montrant a quel point j'étais content, pus de nouvelle pendant un an!!
Il y a deux semaines, Amazon annonçait l'annulation de a série "The After".
Donc perso, je préfère attendre maintenant.
Et puis mieux vaut diffuser 4 Drama moins chère qu'une grosse production. Surtout que Carter prévoyait 100 épisodes.
Une dystopie qui tient la route d'un point de vue production qui est très soignée. J'aime bien notamment le choix de l'étalonnage des couleurs très délavé, ça installe bien l'ambiance. Idem au niveau décors, costumes, ça fait pas trop misère en sachant que l'entreprise de créer cette Amérique post seconde guerre et sous occupation nazie et nippone est quand même assez ambitieuse. Le générique est carrément splendide.
L'histoire en revanche c'est un peu laborieux. J'ai apprécié le positionnement adulte. On est loin des déconnades naïves d'une fantaisie style Falling skies. Mais l'interprétation ce n'est pas top, notamment dans les scènes dramatiques. Du coup pas trop attaché aux personnages. On nous laisse entendre qu'il y aurait une anomalie avec cette réalité (les films qui contredisent le cours de l'Histoire), mais c'est tellement mal amené, succinct que l'attente, la curiosité ne sont pas véritablement au rendez-vous me concernant. Ca manque d'émotion.
Le twist final : bof... Donc il y aura du boulot pour débrider l'action et faire de cette série une tuerie, je m'attendais à plus passionnant.
14/20
Sur le coup je me demande ce qui pouvait motiver Shawn Ryan à produire le remake de cette série qui n'a pas fait date. Peut-être l'opportunité de rester sous les tropiques de Last Resort? Même île paradisiaque, c'est vrai que ça rend le boulot plus agréable.
L'ennui c'est qu'il ne se passe pas grand chose dans ce pilote nonchalant et sans réel rythme. On sent que Ryan a une volonté de mélanger les genres. Mad Dogs commence comme une sorte d'historie de potes en goguettes façon The Hangover. Sauf que les mecs ne sont pas drôles et que doucement on comprend qu'on n'est pas là pour rigoler. Doucement parce qu'on passe son temps en scènes d'expositions dispensables où il s'agit plus de faire rêver à coup de fantasmes de nouveaux riches (baraque à tomber, bateau spacieux...) et en prises de becs peu captivantes entre les 5 gusses en pleine crise de la quarantaine.
Ca tourne de façon assez prévisible au tragique, avec une île qui va devenir un piège. Un peu comme Last Resort quoi... Mais pas évident que je sois impatient de retrouver les nigauds pour savoir comment ils vont s'en sortir, tant le groupe pousse peu à l'empathie avec leurs petites disputes. Il y a une scène de cul assez osée (pour de la télé américaine), une de meurtre assez space que n'aurait pas reniée Lynch. Bref c'est quand même un peu n'importe quoi, mais avec pas forcément une maîtrise de malade...
J'attends toujours mieux de Shawn Ryan...
10/20